mercredi 25 mars 2020

Cake marbré pour le goûter

Mon mini commis vous propose une nouvelle recette!



Lorsqu'on ne parle pas de cookies, on parle de marbré pour le goûter!
Simple, facile et efficace.

La recette :

 200 grammes de sucre glace


115 grammes de beurre mou. Bien mélanger.


3 œufs.


200 grammes de farine ( j'utilise celle avec la levure incorporée) et 5 cl de lait.


Bien mélanger, puis diviser la pâte dans 2 bols. Dans un des bols, ajouter 10 grammes de cacao en poudre.

Dans un moule préalablement beurré, verser en alternant pâte nature et pâte cacao.


Préchauffer le four à 150 degrés. Faire cuire 1 heure.

Une fois que le marbré est démoulé et refroidi, je rajoute toujours un glaçage au chocolat.

Pour cela, je fais fondre 50 grammes de chocolat noir + 30 grammes de beurre.
J'ajoute 8 cuillères à soupe de sucre glace.
Je mélange au fouet, puis j'ajoute une cuillère à soupe de crème fraîche.
Je nappe le gâteau avec le glaçage.
Patience, il faut ensuite attendre une bonne heure pour qu'il soit prêt à être dégusté (ou englouti ).


Rien de diététique ( c'est le principe d'un gâteau non?) mais terriblement bon, et toujours un succès auprès des enfants!







dimanche 8 mars 2020

Quand la rupture est nécessaire... liberté et force de renouvellement

La rupture, c'est en quelque sorte la fin d'un élément inscrit dans la continuité.

Alors il y a plusieurs types de ruptures, la rupture amoureuse, la rupture familiale, la rupture amicale, la rupture professionnelle, la rupture sociale...etc

Dans tous les cas, on est bien au delà d'un simple changement dans ses habitudes, ou de quelques modifications apportées dans son fonctionnement.

La rupture est vraiment un acte qui sépare, qui coupe, qui ferme un chapitre, ou même un livre.

On comprend pourquoi cela peut être douloureux, délicat, choquant, car en tout état de cause, ce qui suivait son cours depuis des semaines, des années ou des décennies, s'arrête.

Et même lorsque l'on est à l'initiative de cette rupture, on fait face à des doutes, des remises en question, des peurs.
La réflexion est généralement en cours depuis longtemps ... de manière plus ou moins consciente.

---------------------

La rupture, c'est aussi, un acte de liberté.

Car ce qui va suivre, apportera un renouveau, et quelque chose de nécessaire à un nouvel équilibre.

Quand on y pense, on ne vit pas beaucoup de ruptures au cours de notre vie, on s'en souvient et généralement avec le temps, on se dit que c'est mieux ainsi, ou qu'on a bien fait, et que c'est grâce à ça qu'on en est là aujourd'hui.

La rupture, comme la transition entre le passé, qu'on n'oubliera pas pour autant, mais qu'on ne vivra plus; Et comme un pas vers l'avenir.

Le parallèle entre la rupture et le deuil est réel. Je ne développerai pas le sujet très vaste du deuil ici, mais le lien se retrouve dans l'acceptation (ou non) de la perte de ce que peut impliquer la rupture.

---------------------

La rupture, le renouvellement.

Si la rupture nous "libère", elle nous oblige aussi à trouver des ressources pour nous renouveler.

Il n'y a plus de dépendance à une situation passée, tout notre équilibre est modifié. Il est nécessaire de faire des choix, de prendre des décisions, par rapport à un nouvel état.

C'est l'occasion de parler de renouvellement. On doit retrouver un équilibre adapté et cohérent avec la nouvelle situation.

---------------------

Si je parle de rupture aujourd'hui, c'est que je suis actuellement dans cet "état" de transition. Le processus n'est pas brutal dans mon cas, mais plutôt long et fastidieux.
Je ne dispose pas de toutes les cartes en main, et je fais face à de nombreux éléments inconnus. 
Le plus ironique là dedans, c'est que cette rupture, en engendrera sans doute une autre, mais finalement, il n'y a pas de hasards dans la vie.

Le temps fera son travail de "médiateur" et bientôt on y verra plus clair.

Le choix de ma liberté

Ma team est déjà ma force de renouvellement, et je ne sais pas comment, mais on trouvera notre équilibre après tout ça. 
Je me pose beaucoup de questions sur ce moment à vivre, mais par contre je n'ai aucun doute sur "l'après", sur le fait qu'il ne peut qu'être mieux, plus conforme à nos attentes de vies, plus proche de qui nous sommes aujourd'hui.